Dans les ténèbres de Vérone
On entend mourir Juliette.
À Venise, – ardente, inquiète,
On voit suffoquer Desdémone.
Envions le cœur qui s’arrête
Quand un excès d’amour l’étonne
Le plaisir n’est que ce qu’on prête,
Mais la vie est ce que l’on donne…
Poème de l’amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles